Comme nous l’avions annoncé dans un message posté sur ce blog il y a quelques semaines, les soucis d’indexation posés par notre hébergeur Unblog.fr nous forcent à déménager notre site internet.
Le site où vous vous trouvez en ce moment restera ouvert tant que toutes les données qu’il contient n’auront pas été transférée sur notre nouveau site.
Nous avons eu le plaisir d’apprendre que le Prix Godot des lycéens a été remis mardi 26 mai 2009 à Matéi Visniec par Michel Azama, en présence des 289 élèves de l’Académie de Caen qui ont distingué Le Mot « progrès » dans la bouche de ma mère sonnait terriblement faux » parmi les 6 pièces sélectionnées.
Paradoxe(s), qui vient de créer cette pièce et qui a pu la travailler avec des élèves de seconde du Lycée Marcel Pagnol d’Athis-Mons, a pu mesurer combien l’écriture de Visniec, à la fois simple et poétique, touche les lycéens. Nous sommes d’ailleurs à la disposition des enseignants, en Franche-Comté et ailleurs, qui souhaiteraient travailler avec nous ou simplement en savoir plus sur le spectacle.
Voici en ligne le dossier de diffusion du spectacle créé le 16 mai dernier par Paradoxe(s), Le Mot » progrès » dans la bouche de ma mère sonnait terriblement faux de Matéi Visniec mis en scène par Henri Dalem. Professionnels ou simples spectateurs, n’hésitez pas à le consulter par un simple clic sur l’image ci-contre !
Nous vous attendons nombreux pour la prochaine représentation, mardi 6 octobre 2009 à 20h30 au Théâtre Jacques Brel de Champs-sur-Marne.
Paradoxe(s), c’est aussi le souci de diffuser auprès du plus grand nombre la création dramatique contemporaine. Ainsi, nous avons associé une classe de seconde du Lycée Marcel Pagnol d’Athis-Mons à notre premier spectacle, Le Mot « progrès » dans la bouche de ma mère sonnait terriblement faux (les photos de la première le 16 mai dernier seront en ligne très prochainement). A Charmoille, dans le Doubs, où Paradoxe(s) s’implante, nous allons rapidement développer des actions à destination de la population des villages de cette communauté de communes rurale où le théâtre a jusqu’ici été difficile d’accès.
Parmi les pistes que nous explorerons, nous nous inspirerons certainement du »café à écrire » que l’équipe du Théâtre de Bligny nous avait invités à diriger le 2 mai dernier, avec les habitants des environs (voir le message à ce sujet). En cliquant sur l’image ci-dessous ou sur ce lien, vous pourrez en savoir plus sur cette soirée mémorable grâce à un article paru dans Le Républicain de l’Essonne.
Un grand merci à tous les participants, aux responsables du Domaine de Soucy qui nous accueillait, et bien sûr à nos amis du Théâtre du Menteur, qui vivent en ce moment des jours difficiles au Théâtre de Bligny.
Paradoxe(s) compagnie Paméla Ravassard et Henri Dalem
créera le 16 mai 2009 à 20h30 au Théâtre de Bligny
Le Mot ’’progrès’’ dans la bouche de ma mère sonnait terriblement faux de Matéi Visniec
Mise en scène, masques et scénographie : Henri Dalem
Lumières : Guillaume Desmeytere
Vidéo : Virgile Pons
Avec Cécile Greinhofer, Paméla Ravassard, Laurent Labruyère, Garlan Le Martelot et Sébastien Libessart, et la participation de Renaud Garnier, Raphaël Grillo, Jean-François Kopf et Adrien Melin.
Avec le soutien du Théâtre de Bligny, de la Région Franche-Comté, du Département du Doubs, de la Commune de Charmoille, de la Ville de Champs-sur-Marne et de l’Institut Culturel Roumain de Paris.
Quelque part en ex-Yougoslavie, un homme et une femme rentrent chez eux après plusieurs années d’exil. Le père creuse des trous partout. Il cherche les restes de son fils, tué dans les parages. Car la mère ne peut pas faire son deuil sans se recueillir sur une tombe. Alors le mort revient murmurer à ses parents les mots d’un passé qui ne passe pas.
Cette pièce répond aux deux impératifs qui fondent le travail de Paradoxe(s): parler à la fois de nous – de quel autre matériau disposons-nous ? – et du monde qui nous entoure – sinon pourquoi monter sur scène ? Nous dévoiler tout en traitant du monde réel. C’est alors que peuvent naître un regard, une poétique, une théâtralité.
Fin avril, Paradoxe(s) a investi la salle de cinéma et de théâtre de Charmoille, dans le Doubs, mise à notre disposition par la Communauté de Communes sur laquelle est implantée la compagnie. Nous remercions chaleureusement ces collectivités, qui nous ont permis de répéter notre prochain spectacle dans des conditions idéales, et plus particulièrement José Sorribès, pour son soutien déterminant.
Cette résidence en milieu rural, qui est inscrite au coeur du projet de notre compagnie, s’est déroulée dans des circonstances d’autant plus favorables que nous venions d’apprendre que, comme la Région, le département du Doubs nous accordait son aide pour notre premier projet, créé le 16 mai prochain au Théâtre de Bligny.
Après deux ans de travail, il semble donc que la création et l’implantation de Paradoxe(s) en Franche-Comté soit en passe de devenir une réalité et un succès !
A l’attention des professionnels qui visitent notre blog, nous mettons en ligne les coordonnées de Mélanie Masounabe, qui s’occupe de la diffusion du Mot « progrès » dans la bouche de ma mère sonnait terriblement faux, la pièce de Matéi Visniec que Paradoxe(s) crée le 16 mai prochain au Théâtre de Bligny.
N’hésitez pas à la contacter pour en savoir plus sur le spectacle et sur cette première date.
A deux semaines de la création du Mot « progrès »…. Paméla Ravassard et Henri Dalem animeront à un Café à écrire organisé par le Théâtre de Bligny, qui nous accueille en résidence pour nos dernières répétitions.
Imaginées par l’équipe du théâtre, ces rencontres permettent aux artistes en résidence de faire la connaissance de leur futur public, et réciproquement. Séparés en deux groupes, les participants écriront des textes sur des thèmes proches de la pièce que nous répétons, puis ces textes seront immédiatement mis en scène par le second groupe.
Cette aide est une reconnaissance du sérieux de notre projet, de nos ambitions artistiques et de notre ancrage local. Un tel soutien, moral et financier, est crucial pour une jeune compagnie comme la nôtre. Cette somme sera bien nécessaire pour monter la pièce de Visniec, dont les répétitions s’accélèrent. C’est pourquoi nous tenons à remercier particulièrement les élus, les responsables des structures culturelles et les fonctionnaires territoriaux qui ont su nous aider depuis bientôt deux ans à concevoir ce projet.
A un mois de la création du Mot « progrès » dans la bouche de ma mère sonnait terriblement faux, l’équipe du spectacle s’agrandit.
Nous accueillons tout d’abord Guillaume Desmeytere, qui créera les lumières de cette production.
Nous avons également décidé de traiter certaines scènes en vidéo, et c’est Virgile Pons qui est chargé de leur réalisation. En plus des comédiens présents sur le plateau, apparaîtront à l’écran Renaud Garnier, Raphaël Grillo, Jean-François Kopf et Adrien Melin (ce dernier devait initialement tenir le rôle de la mère mais il a été remplacé par Laurent Labruyère pour incompatibilité de planning).
Ci-contre une photo des répétitions à l’Institut Culturel Roumain de Paris, avec Laurent Labruyère, Paméla Ravassard et Garlan Le Martelot.